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On emploie le nom choc juxtaposé à un autre nom pour signifier que la réalité à laquelle se réfère cet autre nom provoque une grande émotion ou suscite un vif intérêt. Les ouvrages de référence ne s’entendent pas sur le pluriel de choc. Certains préconisent de laisser choc invariable (« qui provoque un choc » ou ellipse de la préposition dans la locution (de) choc); d’autres n’y voient qu’un simple rapport de qualification et accordent choc au pluriel s’il y a lieu.
Les ouvrages ne s’entendent pas non plus sur l’emploi ou non du trait d’union. On constate cependant que, comme pour d’autres composés du même type, plus une forme devient courante, plus les gens ont tendance à l’orthographier avec un trait d’union. Pour le moment, les deux formes sont possibles : une photo-choc ou une photo choc, un article choc ou un article-choc.
Exemples :
- La publicité recherche les formules-choc(s) (ou formules choc[s]).
- Ce reportage montre des photos-choc(s) (ou photos choc[s]).
- Ces articles sont offerts à des prix-choc(s) (ou prix choc[s]).
Pour en savoir davantage sur le nom épithète, vous pouvez consulter l’article Généralités sur le nom épithète.
Date de la dernière actualisation de la BDL : mars 2021
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