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On emploie parfois le nom témoin juxtaposé à un autre nom pour qualifier quelque chose qui sert de point de repère ou de modèle. Si le nom qu’il accompagne est au pluriel, témoin s’accorde avec ce nom comme le ferait un adjectif.
L’usage du trait d’union entre témoin et le nom qui précède est flottant. Certains ouvrages de référence l’autorisent et d’autres non. Le trait d’union ne se justifie que s’il s’agit d’une expression lexicalisée, c’est-à-dire un groupe de mots considéré comme un mot composé. Comme l’acceptation de tels mots se fait graduellement, on observera souvent les deux formes, avec ou sans trait d’union.
Exemples :
- La lampe témoin (ou lampe-témoin) ne s’est pas allumée.
- Nous avons visité des appartements témoins (ou appartements-témoins).
- Ils ont dû former de nouveaux groupes témoins.
- Les régions témoins pour ce projet ont déjà été choisies.
Pour en savoir davantage sur le nom épithète, vous pouvez consulter l’article Généralités sur le nom épithète.
Date de la dernière actualisation de la BDL : mars 2021
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