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On emploie parfois au Québec, surtout dans la langue familière, le mot puff (aussi francisé en pof ou poffe) pour désigner une bouffée. Ce mot est emprunté à l’anglais puff. Il peut être remplacé, dans les situations de communication qui exigent un registre de langue plus neutre, par les termes bouffée ou inhalation, selon les besoins du contexte. Par ailleurs, au sens de « bouffée de cigarette », l’équivalent français touche est également disponible, mais il faut savoir qu’il relève lui aussi de la langue familière.
Exemples :
- C’est ma dernière cigarette. Veux-tu une puff?
- Grand-père alluma sa pipe, tira deux ou trois pofs, puis il entreprit un long récit.
- Il aurait besoin d’une bonne puff d’air frais!
- En cas de difficulté respiratoire, vous en prenez deux poffes, matin et soir.
On dira plutôt :
- C’est ma dernière cigarette. Veux-tu une bouffée?
- Grand-père alluma sa pipe, tira deux ou trois bouffées, puis il entreprit un long récit.
- Il aurait besoin d’une bonne bouffée d’air frais!
- En cas de difficulté respiratoire, vous en prenez deux inhalations, matin et soir.
Date de la dernière actualisation de la BDL : mars 2021
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