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La coupure (ou division) des mots doit être évitée dans les titres, dans l’affichage et dans les en-têtes de lettres, notamment dans les appellations d’organismes et de sociétés. Elle doit également être évitée autant que possible dans un texte soigné. Par contre, certaines coupures sont indispensables, dans les lignes courtes et les colonnes entre autres. Il convient alors de les faire dans le respect de certaines règles (sur lesquelles les codes typographiques ne sont cependant pas unanimes).
On ne divise pas un toponyme (nom propre de lieu). Est toutefois tolérée la division après le trait d’union dans le cas d’un toponyme composé, de même qu’après le tiret dans le cas d’un toponyme surcomposé. Dans le cas des toponymes composés qui ne comportent pas de trait d’union, la division est permise entre les composants. Pour ce qui est des noms de voies de communication (odonymes), la division est admise entre le générique et le nom de la voie si on ne peut éviter cette division.
Dans les exemples suivants, le signe [ indique une coupure permise.
Exemples :
- Québec
- Rouyn-[Noranda
- Saguenay–[Lac-Saint-Jean
- La [Tuque
- rue [Rideau
Pour en apprendre davantage sur la division des mots, vous pouvez consulter les autres articles des sous-thèmes Coupures de mots et Coupures entre les mots.
Date de la dernière actualisation de la BDL : mars 2021
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